La correspondance entre Jean-Marc Piotte et Pierre Vadeboncoeur couvre une décennie, celle des années 1960, sans doute la plus effervescente du Québec contemporain. Caractérisée à la fois par les grandes réformes de la Révolution tranquille et la montée de l’indépendantisme, elle scande le moment fort d’une amitié nouée durant la période qui précède immédiatement la fondation de la revue Parti pris.