Un point de départ à ce second journal : la crise de la quarantaine et plus encore cette impression d’appartenir à une génération (70-80) qui a été biberonnée aux lendemains qui déchantent.Trente ans plus tard, les enfants de la crise sont devenus parents. Qui sommes-nous ? Que pensons-nous de la vie, du bonheur ? Qu’avons-nous fait de nos rêves ? D’où je vous parle ?Au fil de chroniques variées mais agencées sans hasard, j’espère susciter l’envie d’une seconde vie, libre et heureuse, à la recherche moins du temps perdu que du sens des choses.