« Quand verrons-nous, me faisait remarquer, l’autre jour, une jeune femme, en passant devant ce superbe édifice qui s’appelle l’université, quand verrons-nous les Canadiennes admises à y suivre les cours destinés à accroître leur instruction et à leur donner la place qui leur revient dans la société? [...] Je rêve mieux encore; je rêve, tout bas, que les générations futures voient un jour, dans ce vingtième siècle qu’on a déjà nommé le Siècle de la femme, qu’elles voient, dis-je, des chaires universitaires occupées par des femmes.» Françoise, La Patrie, 14 octobre 1895