Categorias Ver Todas >

Audiolivros Ver Todos >

E-books Ver Todos >

Les Mystères de Paris--Tome VII

Les Mystères de Paris--Tome VII

Sinopse

Autrefois, La Louve terrorisait les prisonnières de Saint-Lazare. Mais l'orpheline Fleur-de-Marie, une ancienne captive, a su éveiller en elle un sentiment de rédemption. Libérée de prison pour bonne conduite, La Louve fonce droit sur l'île des Ravageurs, au milieu de la Seine, pour délivrer son amour de toujours, Martial, enfermé par sa mère et condamné à mourir de faim. Mais à peine arrive-t-elle sur l'île que des cris de détresse retentissent: Fleur-de-Marie se noie...«Les Mystères de Paris» est un roman social d'aventures populaire, paru en feuilleton de 1842 à 1843. Comme Hugo dans «Les Misérables», Eugène Sue abat le tabou de la misère, et révèle les mœurs violentes et les bas-fonds de la société. Enfin l'on raconte l'histoire du peuple, tel qu'il est. Avec «Les mystères de Paris» Eugène Sue a établi un genre, le feuilleton, et créé une série au succès sans précédent ; un classique incontournable.Eugène Sue (1804-1857) est un écrivain français, élevé dans la richesse de la garde de Napoléon Ier. Enfant, c’est un élève turbulent qui, malgré une famille de chirurgiens à l’hôpital de la maison du roi, souhaite démissionner de ses obligations pour devenir Dandy. Son père meurt alors qu’il n’a que 28 ans, lui léguant une fortune considérable. Eugène Sue en profite, et dépense en seulement sept ans tout l’argent. Il doit se consacrer de nouveau à la littérature pour arrondir ses fins de mois. Il commence par des romans maritimes, écrits dans un romantisme noir, qui relatent ses expériences de voyage en tant que militaire chirurgien. «La Salamandre», 1832, est un succès. Son socialisme engagé grandit, et sous un plume critique, écrit de 1842 à 1843 «Les Mystères de Paris», suivi du «Juif errant». Lors de l’accession au pouvoir par Napoléon III, Sue s’emporte violemment contre le coup d’État. Condamné à la prison, il s’exile. «Les Mystères du peuple» est publié mais doit déjouer la censure.