<b><i>Jonny Appleseed</i>, l’un des 100 meilleurs titres de 2018 selon le <i>Globe and Mail</i></b>Traduit de l'anglais par Arianne Des Rochers<b>Résumé</b>Vivant hors réserve et cherchant tant bien que mal à s’acclimater à la vie urbaine, Jonny devient travailleur du cybersexe pour gagner sa vie. Il a devant lui très exactement une semaine avant de devoir rentrer à la réserve pour assister aux funérailles de son beau-père. Les sept jours qui suivent se déclinent comme un rêve enfiévré : histoires d’amour, traumatismes, sexe, liens familiaux, désirs et ambitions, souvenirs déchirants de sa kokum (grand-mère) si chère, etc. La vie de Jonny consiste en une série de ruptures, mais aussi de liens inextricables. Tout en se préparant au retour à la maison, Jonny tente de rassembler les divers morceaux de sa vie.<b>Échos de presse</b>« Voilà un exploit de perfection littéraire. Je suis ébloui, Jonny. Je te suis reconnaissant, Joshua. Je suis stupéfait de tout ce que tu nous offres ici à honorer, à chérir et à découvrir. Tu es mon nouveau héros. »Richard Van Camp, écrivain« Joshua Whitehead redéfinit les possibilités de l’écriture autochtone queer dans son puissant premier roman.<i> Jonny Appleseed</i> transcende les genres d’écriture et mélange le sacré et le sexuel pour forger une expression viscérale du désir et de l’amour décoloniaux. » Gwen Benaway, auteure« La langue de Whitehead est parfois concrète, très contemporaine, truffée de références à la culture populaire, du film <i>Titanic</i> à la télésérie <i>Stranger Things</i> en passant par le jeu vidéo <i>Crash Bandicoot</i>. Par endroits, le ton se fait onirique, adopte une envergure mythique [...] Les pages qui concernent l’enfance, souvenirs de première fois, tendres ou déchirants, traduisant le courage d’une communauté ou mettant en relief de révoltantes inégalités, sont particulièrement puissantes. »Christian Saint-Pierre, <i>Le Devoir</i>« <i> Jonny Appleseed</i>, ce premier roman, n’est rien de moins qu’un miracle. »<i>Canadian Art</i><b>L'auteur</b>Joshua Whitehead est un poète et romancier bi-spirituel autochtone du Canada. Membre oji-cri/nehiyaw de la Première Nation manitobaine de Peguis, il est l’auteur du recueil de poésie <i>Full-Metal Indigiqueer</i>, publié en 2017. En 2016, Whitehead a reçu le Prix d’histoire du Gouverneur général en arts et récits autochtones. Son roman <i>Jonny Appleseed</i>, publié en anglais au printemps 2018 a retenu l’attention de la critique dès sa parution, il a reçu le prix Georges Bugnet et le Lambda Literary Award. Il a également été finaliste au Prix du Gouverneur General, au Amazon Canada First Novel Award, au Carol Shields Winnipeg Book Award, au Winnipeg Book Award, au Alberta Literary Award, sur la longue liste pour le Scotiabank Giller Price et il est considéré comme l’un des 100 meilleurs titres du <i>Globe and Mail</i>.