Qui n’a pas dans son entourage une personne qui l’horripile, qui l’énerve, qui lui gâche ses petits bonheurs - comme l’asticot dans la poire, la chenille dans la laitue, le perce-oreilles dans le dahlia ?En prose ou en vers, voici quelques textes en forme de « tranches de vie » qui constatent que les forficules peuvent s’immiscer dans tous les recoins du quotidien.