C’est intense, l’amour. Ça fait peur, aussi. Pire qu’un accouchement et bien plus qu’un nouvel emploi. Je devrais évoquer cet état émotif de façon plus positive, je sais, mais je suis de nature plutôt craintive. Madame Chicken, c’est moi!Valérie a peur de tout: aimer, vieillir, voyager, se tromper, avancer, reculer. La demande en mariage de Robert devrait la sécuriser, mais OMG, c’est tout le contraire! Paniquée, elle cherche à comprendre. Elle en a assez d’être cette petite souris peureuse, timide, souffrant de dépendance affective. Entourée de Julie et Maryse, Valérie essaie de prendre un virage crucial dans le bordel de sa vie. Qu’est-ce qui l’empêche d’être heureuse, de croire qu’il est possible d’aimer et d’être aimée sans que ça foire inévitablement? C’est clair: elle n’a jamais autant aimé ou désiré un homme que Robert. Elle en fait même des «rêves cochons». Alors c’est quoi le problème? Au secours! Quand les pensées positives sirupeuses ou les bribes de sagesse bouddhiste glanées sur Facebook ne suffisent plus, Valérie prend les grands moyens. Encouragée par Julie et Maryse, Val fera face à de nécessaires mais troublantes révélations. Go, Val , Go!